Page:Lebey - Les Blasons du plaisir, 1900.djvu/23

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Contre l’écusson de ce coffre
Où j’ai jeté
Trop de rêves dont nul ne m’offre
La vérité,

Sur sinople barré de sable,
Au plat du bois,
Pour que je me mette à la table
De notre croix,

Le plus cher vœu du cœur éteint,
Loin de l’Amour,
Que l’on me peigne une putain
Sans nul atour,

Nue en ses bas au décor rouge,
Qui flambe et luit,
De la ville qui n’est qu’un bouge
Le jour, la nuit.