Page:Leblanc — Contes du soleil et de la pluie, parus dans L’Auto, 1902-1907.djvu/230

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matin… il y a un grand hêtre sur la route… près de la butte… le voyez-vous là-bas… il barre le chemin… Et Régine est là, entre les dents de Gueule-Rouge… Pauvre Régine !… Et moi je vais tout doucement pour la voir mourir… pour l’entendre mourir… tout doucement… Voilà le hêtre… le voilà !… Ah ! j’entends la tête qui craque… je sens la tête qui craque… Régine… ma Régine…

Maurice LEBLANC.