Page:Leblanc — Contes du soleil et de la pluie, parus dans L’Auto, 1902-1907.djvu/408

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« Le résultat, vous le savez. Le nom des Gradivelle, jusqu’ici obscur et seulement connu des initiés, s’est révélé d’un coup au grand public. L’agitation produite par ce triple mystère l’a mis en pleine clarté. Les journaux de Paris et de la province, les journaux des moindres villes, l’ont imprimé vingt fois dans leurs colonnes. Et les acheteurs ont afflué chez nous.

« Je dis, messieurs, que la réclame ainsi comprise… »

Maurice LEBLANC.