uns avec les autres ! Mais ce serait de la dernière incorrection. Pour qui me prenez-vous ? »
Le train sifflait.
« Enfin, je vous pardonne… Mais avez-vous ce qu’il vous faut ? Du tabac, des allumettes… Oui… Et les journaux du soir ? Vous y trouverez des détails sur mon arrestation, votre dernier exploit, maître. Et maintenant, au revoir, et enchanté d’avoir fait votre connaissance… enchanté vraiment !… Et si vous avez besoin de moi, je serai trop heureux… »
Il sauta sur le quai et referma la portière…
« Adieu, fit-il encore, en agitant son mouchoir. Adieu… je vous écrirai… Vous aussi, n’est-ce pas ? Et votre bras cassé, monsieur Wilson ? J’attends de vos nouvelles à tous deux… Une carte postale de temps à autre… Comme adresse : Lupin, Paris… C’est suffisant… Inutile d’affranchir… Adieu… À bientôt… »