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LA PITIÉ
Robert, subitement retourné.
En effet… il n’y a aucune raison… N’est-ce pas, Jacques ? Seulement, je crains d’être importun…
Germaine.
Nullement. Les amis de Jacques sont ici chez eux. Qu’ils y viennent, qu’ils y mangent, qu’ils y fument, j’en suis enchantée. Mais qu’on ne me l’enlève pas ! Allons, Marie-Anne !
(Elles sortent).
Scène IV
Jacques, Robert.
Robert, après un moment.
Tout à fait charmante, ta cousine. Elle habite donc ici ?
Jacques.
Elle ne s’entendait pas avec sa mère qui est une sorte de… déséquilibrée. Alors nous l’avons prise chez nous.
Robert.
Elle est charmante. Ta femme aussi d’ailleurs. Elle a eu deux ou trois plaisanteries qui m’ont ravi.
Jacques.
Tu n’es pas froissé, j’espère ?