Page:Leblanc - Une femme, 1893.djvu/152

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Plusieurs ouvrages de couture qu’elle entama simultanément furent laissés en plan. Elle risqua quelques promenades : elle rentrait exténuée. Rien ne la divertissait.

Un matin, comme Robert l’avait quittée pour accomplir une tournée aux environs, un commissionnaire lui apporta une lettre. Elle la décacheta. C’était l’écriture de son parrain. Elle lut ces mots :

« Aujourd’hui, deux heures, place du Vieux-Marché. Me suivre de loin. »

Elle y alla.