Page:Leblanc - Une femme, 1893.djvu/201

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Henriette trouva son amie assise sur les genoux d’Adrien.

Pas une injure ne fut échangée. Du doigt Mme Berchon montra la porte à sa rivale et la chassa.

Incapable d’une haine concentrée, Lucie lui voua une rancune intermittente qui la conduisit souvent à énoncer devant le monde des critiques calomnieuses.