cipaux points de vue avec des arbres et arbrisseaux à feuilles persistantes, qui joueront un beau rôle en détachement sur les feuilles caduques et sur cette masse de fleurs éblouissantes par les couleurs si variées et si tendres du pommier. Certes, des personnes qui ne seraient pas accoutumées à cet aménagement de parc, en seraient d’autant plus charmées que l’on a du fruit pendant tout le reste de la végétation ; tel est en effet le but qu’on doit se proposer, plutôt que de faire un garni dans le milieu des grands massifs qui ne rapportent rien, soit épines, ronces, chênes, acacias, ormes, etc., que l’on a souvent plantés pour masquer certains points désagréables ou pour briser les vents, puis souvent le besoin ou la spéculation viennent engager à les couper pour la vente et le but que l’on s’était proposé n’est pas atteint, car c’est au moment où ce massif commence à le remplir qu’il faut le couper.
Il n’en serait pas de même si l’aménagement était fait dans l’intérieur des grands
