Page:Leconte - La Tentation de l’homme, 1903.djvu/75

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Et telle je la vis, telle qu’en vérité,
Dès l’aube où s’éveilla, dans la splendeur de l’être,
L’inquiétude étrange et triste de connaître,
Au fond du cœur de l’Homme elle a toujours été.