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Page:Leconte - Le Bouclier d’Arès, 1897.djvu/121

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Lors le Nabi se tut : les molosses hurlèrent ;
Les minces coutelas dans l’ombre étincelèrent.

Et Shin-Akhé-Irib, sans un mot, regarda
Les bourreaux entraîner l’homme de Iehouda.