Page:Leconte - Le Bouclier d’Arès, 1897.djvu/97

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Comme des dogues noirs guettant le front du maître,
Cette meute demeure immobile, épiant
De Shin-Akhé-Irib le silence effrayant.

Et les grands parasols frissonnent sur sa tête.




Mais voici ce qu’au Roi d’Asshour dit le Prophète.