Page:Leconte de Lisle - Poëmes et Poésies, 1855.djvu/261

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.




SOUVENIR.

À Mademoiselle H. C.





Le ciel aux lueurs apaisées.
Rougissait le feuillage épais.
Et d’un soir de mai, doux et frais,
On sentait perler les rosées.