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LA PROMENADE D’AVRIL.


Come, Eva dear, by the mounlight
Ve’Il visit all our haunts to night.

Em. Landon.


Then all, by chance or fate removed,
Like spirits crowd upon the eye :
The few we liked — The one we loved, —
And the whole heart is memory.

J. Croly.


Le città son nemiche, amici i boschi
A miei pensier…

Petrarca.


Contre le vent d’avril, qui souffle dans les bois,
Aguerrissez vos pas, devenus villageois ;
N’écoutez pas l’hiver, dont la fuite incertaine,
Au printemps, qu’il combat, dispute encor la plaine.
Venez, et si du soir la sourde humidité,
De vos frileux efforts, trouble la fermeté,