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Page:Lefèvre-Deumier - Confidences, 1833.djvu/371

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Et puissiez-vous, un jour, quand l’âge qui s’avance,
Vous aura mis au iront ces rides de souffrance
Dont votre charité m’a sillonné le cœur,
Voir froidement la mort que vous donnez sans peur ;
Puissiez-vous, s’il existe un Dieu qui nous réclam e,
Ne pas monter au ciel avec du sang sur l’âme,
Et mourant loin du cœur qui vous idolâtrait,
Avoir moins de remords que je n’ai de regret !