Page:Lefèvre-Deumier - Le Clocher de Saint-Marc, 1825.djvu/211

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Mon cœur, qui lutte en vain contre un feu suborneur,
Succombe sous le poids d’un rêve de bonheur :
Et chassant de l’Amour l’incurable espérance,
Je redemande à Dieu ma première souffrance ;