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Page:Lefèvre-Deumier - Le Clocher de Saint-Marc, 1825.djvu/97

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Si mon bras engourdi ne peut rien, Liberté,
Pour relever ton nom partout persécuté,
Je n’en pressens pas moins ta future victoire ;
Que mon dernier soupir soit un hymne à ta gloire,
Et grave sur la tombe, où j’entrerai sans toi :
Que Sparte eut plus d’un fils qui valait mieux que moi.