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le, il est bien difficile de refuser le nom de conservateur à celui qui mérite le titre de défenseur. Nous pouvons donc, en toute sûreté de conscience, devancer le jugement de la postérité, faire grâce à nos deux poètes des quelques années qui les séparent de leur canonisation, et dire, de l’auteur des Orientales comme de l’auteur de Jocelyn : ce sont deux poètes classiques.