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Page:Leibniz - Die philosophischen Schriften hg. Gerhardt Band 1.djvu/400

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d’honestes gens, el je rae persuadc que vous ne m’en dcvoz point scavoir mauvois gr6. M Laniin en aura une eopie el quelques aulres de nos amis qui m’cn ont demend unc avec inslance ; mais dans ces copies je ne uielleray que ce qui regarde les sciences, averlissaut que l'on ne jugd poini cn dcrnicr ressorl du Systeme que vous pi’oposez el que l'on donne du loisir el de l'espace pour vous expliquer davanlage, si vous le Irouvez bon sur une si grande maliere. MT Huel a esl6 nonim par le Roy a TEvesch de Soissons ; je luy ay 1u la eopie de vostre lellre, il vous baise les mains« M\ TAbbö Galois vous fait aussi ses civililez. M: Mathion fail la mesme chose à vostre egard. J’ay parl6 de vous, Monsieur, à M Tevenot, qui vous eslime fort ; il est à cet heure dans la place de M ! Garcavi a la bibliothöque du Roy. Les manuscrits de M ! Mariotte qui ont reste aprös sa mort, ont est mis par son ordre port dans son testament entre les mains de Ml ; de la Hire de rAcademie Royale des Sciences, lequel nous a donne un posthume de M Mariotte de Tllvation des Eaux. Je pense quo vous aurez vu ce livre, il est beau et curieux. M de Brosseau m’a rendu luy mesme vostre lettre, je ne vous reponds pas quelle ne seit quelque jour imprime. Jy repondray emplement d’une maniere qui ne vous sera pas desagreable, il faul auparavant que nous scacbions ce qu’en dira M Lantin. Je souhaiterois fort que M ! Delarue füt retabli. On q fait une nouvelle edition de mon petit traite des Hygrometres, j’y ay adjout6 plusieurs choses. Je vous Tenverray par la preraiere commodi(6, j’en metteray seulenient une figure dans cette lettre en attendant le livre. J’aurois bien souhait de voir ce que vous avez donn au Journal de Lipsick touchant les idees. Nous ne voyons point en France, ou fort difficilement du moins, les journaux etrangers. On ne scait pas encore ce que vous me demendez touchant M TAbbe de la Rhoc. Mr de Brosseau consultera le Pere Mabillon touchant l'histoire dont vous m’avez demandé de l'eclaircissement ; je n’en ay pu rien apprendre, vous en pourrez trouver quelques mots dans l'histoire de Meser.*) Le Pere Malbranche vous salue ; j’ay vu dans le Journal de Holende vostre probleme avec une reponse quon y a faite touchant le principe de la mechanique ; je ne scais qui a fait cette reponse. Je vous feray quelque jour la mienne, Dieu eidant. Je n’entre point icy en matière. Jespere que vous aurez bientost ma reponse à Dom Robert sür


•) Mezeray.