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et à la cause finale, qui doit faire tout le but de notre volonté, et peut seule faire notre bonheur (§134 ; Préf.***4, a, b ; §278).



EXERCICES

1. — L’Atome de Démocrite et la Monade de Leibniz : en quoi diffèrent-ils ?

2. — Quel rôle l’idée de Force joue-t-elle dans le leibnizianisme ? Montrer que l’origine de cette idée est toute psychologique.

3. — Comparer la théorie leibnizienne des petites perceptions avec la théorie récente de l’Inconscient.

4. — Chercher le sens exact du mot Entéléchie chez Aristote et chez Leibniz.

5. — Expliquer l’origine et la portée du principe des Indiscernables.

6. — L’Appétition est-elle la même chose que la Volition ?

7. — Quelle est l’opinion de Leibniz sur la connaissance et le raisonnement chez les animaux.

8. — Comparer le principe de Raison suffisante et le principe de Causalité.

9. — En quoi consiste la subordination des Monades qui constituent le Corps humain à l’âme ou Monade dominante ?

10. — Que deviennent le Temps et l’Espace dans la doctrine des Monades ?

11. — Peut-on ramener à une seule les preuves leibniziennes de l’existence de Dieu ?

12. — Parallèle des attributs psychologiques de la Monade et des attributs métaphysiques de Dieu.

13. — De la possibilité logique et de la possibilité métaphysique. Quelle distinction Leibniz établit-il entre les possibles et les compossibles.

14. — Quel est le but et la raison d’être de la distinction établie par Leibniz entre la volonté antécédente et la volonté conséquente de Dieu ?

15. — Quelle est l’origine du Mal physique, métaphysique et moral ? Pourquoi Leibniz dit-il qu’il a une cause déficiente et qu’il n’est qu’un moindre bien ?

16. — On a parlé de l’optimisme béat de la philosophie du dix-septième siècle : celui de Leibniz mérite-t-il celle épithète dédaigneuse et le reproche de n’être qu’un défi porté à l’expérience de tous les hommes.