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Page:Lemaître - Corneille et la Poétique d’Aristote, 1888.djvu/102

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veux, pour me laver de tout reproche, redire ici de tout mon cœur le beau mot de la Bruyère : « Ce qu’il y a eu de plus éminent en lui, c’est l’esprit, qu’il avait sublime. » Et je n’ai pas besoin de dire qu’il faut entendre « esprit » au sens latin (spiritus)

FIN