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Page:Lemaître - Corneille et la Poétique d’Aristote, 1888.djvu/50

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sommes plus pressés : dès que le drame est dénoué, nous ne voulons plus rien entendre, et c’est parmi le bruit des banquettes que les personnages meurent ou se marient. Corneille a donc raison. Il finit sur un précepte excellent, — et qui n’est pas dans Aristote ! Il faut lui en savoir gré.