Page:Lemaître - Les Contemporains, sér2, 1897.djvu/257

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J.-J. WEISS[1]

L’impression que nous a laissée M. Sarcey — sa personne, sa critique et son style — est une impression de rotondité. Or rien de plus facile à embrasser d’un regard que ce qui est rond. Ce qui est rond est simple. Ce qui est rond est un, ayant un centre. La définition de M. Sarcey, l’exposition de ses théories étaient chose aisée. Il est beaucoup moins facile d’enserrer dans des formules qui les contiennent l’esprit ondoyant et brillant et les opinions multiples de M. J.-J. Weiss, même si l’on s’en tient à sa critique dramatique.

Quand on vient de parcourir, comme j’ai fait, dans

  1. Essais sur l’histoire de la littérature française (1 vol. Calmann Lévy). — Chroniques dramatiques à la Revue politique et littéraire et au Journal des Débats (1882-1885).