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lares


VII
joubert


Le corps est la force fatale
Qui nous rive au pays d’exil.
Un corps, Joubert en avait-il ?
N’est-ce pas guenille trop sale ?

Sur la réalité brutale
Ta pensée, ô rêveur subtil,
Ténue et souple comme un fil,
Tissait une gaze idéale.