Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/153

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146 II. EpiîtridïS. Paul de circonlpeâion qu’il fbit mprouvé non fcule- ment du Seigneur, mais aussy des hommes, zz Nous avons envoyé encore avec eux noftre frere que nous avons reconnu zélé <$>tres vigilant en pluiieun rencontres, & qui a un zele tout particulier en cellecy ; & nous avons grande confiance que vous le traitterez bien, Z} Sc que vous traitterez deméme Tite, qui eû uni avec moy Sc qui travaille comme moy pour vostre làlur, Sc nos antres freresjqnifbnt 7les Apostres des Eglifês, & la gloire de Chri st. %4 Donncz-leur donc devant les Eglilès, des preuves de vostre charité, & fiiites voir que c’cft avec fujet que nous Nous sommes loiieK de vous f. 7 4M. les députez. Chapitrs IX. 5. i.Vamerlièerslemmté’ avec joie, ^mfeme peu, moiffomera peu. I T L lèroitfuperflu de vous écrire few ;4»rA- ^ g* touchant cette alfiftance qui se préparé pour les (àints de Jcrulàlcm. z Carje fçay avec quâlcaffèétion vous vous y portez, dont je me glorifie auflÿ devant les Macedonicos, leur dilànt, que la province d’A- chaïc estoit difpofée à frire cette charité dés l’année possée, & vostre exemple a excité le même zele dans l’esprit de plufieurs. î C’estpourquoy j’ay envoyé *B«i frcres vers vous, afin que ce ne soit pas en vain que je me fois loiié de vous en ce point, & qu’on vous trouve tout prests selon l’afluranccquc j’cnay donnée: logle