Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/162

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AUX CpILIHTHUN&.Chap.XI. lyy z6 J’ay esté souvent dans les voyages ; dans les périls lùr tes fleuves ; dans les périls des voleurs ; dans les périls de la part de ceux de ma nation ; dans les périls delà part des payens ; dans les pçrils au milieu des villfs ; dans les périls au milieu des ddcits ; dans les périls fur la mer ; dans les perilç cptre le» faux frétés. 37 Jayfouffen toute forte de travaux, &de fctigues, les veiUes frequentes, la fri®, kfwf, les jeûnes raterez, le froid fc fr nudité, zS Outre cet maux extérieurs le soin que J’ay de toutes les Eglilès attire sur moy une loulf d’affaires qui rn’affltgm cous les jcHtrs. %9 7 Qui est fpiUe sans que je m’^dFaiWilIc wotcluyi Qiû est fcandalifc laps que 30 Que s’ilfrut lè glorifier de quelque.efia- fe, jemeglorifieray de mes peines ^ de mes fbufirances. 31 Dien qui est le Pere de nestraSeigneur J e- susChrist & qui est beni dans tous les fiecles fçaic que je ne ments point. 31 estant à Damas cefoy qui estmtgouvçrr neur de la province pour le Roy Aretas f^pit faire garde dans la ville pourm’arresterprison- nier ; 33 mais on me descendic dans une eprbeil- le par une fenestre le long de la muraille, fc Je me fouvay de fos mains. £ üj r 7 4*. quiestaffligéCms que je m’afflige. «