Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/164

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AUT Corinthiens, Chap.XII. iy7 me donner des foufflets afin que je nem’eleye point: S c’cftpourquoy j’ay prie trois Ibis le Seigneur, afin que cet ange de (âtan se retiraft de moy. gt il m’a répondu: Ma grâce rous fuffit ; car ’ ma puissànce se £ût plus paroistre dans la foibldTc. 9 Je prendray donc plailîr a me glorifier dans mes foiblefles ; afin que la puissànce de ffiu- Christ habkedansmoyf. 10 £t ainsy je (èns de la iàtisfaétion ^dela joie dans les foibleflès ; dans les outrages j dans les neceflitez ou je me trouve réduit, dans les per- fecutions, dans les afiliétions preflàntes que je fiuffre pour fefiuC H r i s t : car lors que je liiis foible c’est alors que je suis fbn. $.z. L»fouffrance, marque des Afostres, Defintereffement de S. Paul, drdefes difc^les. Il pleure les pecheurs. 11 J’ay e&é impiaient en me releva» de cette strtti mais c’cft vous qui m’y avez contraint. Car c’estoit à vous à par et avantageulçment de moy ; puisq ue je n’ay esté en rien inférieur aux plus eminens d’entre les Apostres, encore que je ne fois rien. iz Auflÿ les marques de mon Apoftolat onc par.u parmy vous dans toute forte de tolérance (jp de patience, dans les miracles, dans les prodiges & dans les effets extraordinaires de la puify ^ce divine. IJ Car en quoy avez-vous esté inférieurs aux L ü‘i

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