Aux CfAtATES, Ghap. I- I6y de plufieurs de ma natiou & de mou âge, Sc ayant un zclt dcmesuré pour les traditions de mes peres. I y Mais lorlqu’il a pieu à Dieu, qui m’a choi- fî particulièrement dés le ventre de ma mere, & qui m’a appellé par là gracc, 16 de me reveler son fils afin que jclepref- chailè partny les nations, j» ï»j fmt auffitost 4 làns prendre conlêil de la chair & du fàng, 17 & je ne suis point retourné à Jerufàlem pour voir ceux qui estoient Apostres avant moy ; mais je m’en suis allé en Arabie, & jefiiis revenu encore à Damas. 18 Trois ans après jerctoomayà Jeriilàlem pourvifiter Pierre ; & je demeuray quinze jours avec luy ; 19 &. je ne vis aucun des autres Apostres, finon Jacques frere du Sc igneur. ao Je prens Dieu à témoin que jene ments point en tout ce que je vous écris ai J’allay enlîiite dans la Syrie & la Cilicie. aa Or les Eglifês de Judée qui croioient en Jefm Christ ne me connoilibient pas de vilàge. a3 Üsavoient seulement oüidircàplufiairs: Ccluy qui autrefois nous perfecutoit, annonce maintenant la foy qu’il s’cfforçoit alors dedé- traire. a4 Et ils rendoient gloire à Dieu de et qu’il a- voit fuit ea moy. 4 4M.fâqstnavoUconfe[éavec aucunhomiueiEetteli «
