17* Epistre de S.Paui, qui vousaaTTcftez dans vestre eoitrji pourvoi» empêcher d’obeir à h vérité > 8 Cefentimentdont vous vous elles lailTéper- fuader ne vient pas de celny qui vous a appeliez, i.str. y. 9 Un peu de levain aigrit toute la pafte.
- •\tlo\tJ’elpete\tde la bonté du Seigneur que vous
’ n’aurez poiut à l’avenir d’autres fcntimens que les miens : mais celuy qui vous trouble en portera la pcinequel qu’il foit. Il Et pour moy, mes frcres. si je presche encore la circoncifion, pourquoy cft-cc que je fouffre tant de perfccutions î Le fcandale de la croix est donc anneanti. iz Pluft à Dieu que ceux qui vous troublent 3 lùllent non seulement circoncis, mais plus que circoncis. 13 Car vous estes appeliez, mes freres, à un estat de liberté : ayez soin seulement que cette liberté ne vous lcrvc pas d’occafion pour vivre félon U chair, mais affujcttillêz vous les uns aux autres par une charité [ v. Ipirituelle.] 14 Car toute la loy est renfermée dans ce seul £««<3.19. précepte : Vous aimerez vostre\tprochain com- Matth “«vousméme. i». 39*\tQue\tfi vous vous mordez &\tvous dcvorex £m». 15. les uns les autres, prenez garde que vous ne vous
- ’\tconfiimiez les uns les autres.
§. 3. Cembut, desirs. oeuvres (fi fruits de U chair (fi de [Efirit. Crucifier sa chair. Se cendiùrepar tEfirit. Wnva-\tJe\tvous dis donc ; t\tvous\tfélon présla l’esprit4, &VOUS n’accomplirez point les desirs pentec. de hnehÀr. I. Pier.i. II.\t^««.roiencinênieRttan-] 4\t& n’accompliflêe CbKLdumüitHtUvtue, I poiut. „ «
