AUX EPHESiEHSjChap.VI. 159 z8 Ainfy les maiis doivfiji ; aitnctleu^s fem- mcs, conjiaç leurs propres çprps. Celpy qui aj-’ œcft ôsainics’zfraefyymême. 19 Car nul ne hait là propre chair, nvtis il 1anourrit & Ventretient.CQtotçe V^CHRtsT fait l’Eglise ; )o parce que nous fotnmçs se memores de fon corps, frrmtz de fà chair fc de fçs os. }i C’estpourquoy l’homme abandonnera fon pere & là mcrc pour s’attacher à là femme, &, j. y. dedeux qu’ilsefiomt ils deviendront unçmême 10. chair.\t7’^^^\t^ }i Ce façrement est grand ; jç dis en xf" ’ Christ fccnl’Eglilc. 33 Ainfy que chacun de vpusqimefafçmme comme luyméme, fc quela femweççaigneé» reipcâe fbn mary. Chapitre VI. J. I. Devoirs mutuels des enfans, (fi desperes-, dis servitestrs, tfi des maistres. I O u s enfims^, obcïflcz à vos peres & V à vos meres • ai ce qui est selon le Seigneur ; car cela est juste. 1 Honorez vostre pere & vostre mere (c’est Bned. lo. le premier des cpmmandcmens auquel Dieu ait promis une recompenfc.) 3 Honorez les dit-il, afin que vous foyez heq- Ece(i.).9. rcux, & que vous viviez longtemps sur la terre. ’A**th. 4 Et vous peres, n’irritez point vos enfrns, M4K7. mais ayez soin de se bien éleyer en lescotfi- logeant & les instruifànt selon le Seigneur,\t‘‘H-\ti\t•*®- O 1 Ueansprt Seigoeiw. Digrtized by
