Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/220

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AUX PHIlIPPIKNS.Chap.III. 11} 8 Je dis plus: Tout me semble une perte au- prix de cette haute connoiflànce de JesusChrist mon Seigneur, pour l’amour duquel je me suis privé de toutes choses & je les regarde comme des ordures afin que je gagne ^*- y«s Ch RI ST ; 9 que je fois trouvé * en luy, n’ayant point une justice qui me soit propre & qui mesoit veniie de la loy ; jjuis ayant celle qui naist de la foy en Jefiie Christ-, cette justice qui vient de Dieu par la foy, 10 & que je connoiflè JesusChrist, la vertu de sa refurreétion, fc la participation de les fouffrances, estant rendu conforme à fa mort ; 11 fcm’efforçant de parveniren quelque maniéré que ce soit à la bienheureuferclîirreélion des morts. 5.1. S. Paul ne se croit fat arrivé à la ferfeSHon » ily court sans ceJfe. Erniemù de la croix. Demeure dans le ciel. I a Ce n’est pas que j’aye déjà receu ce que fe- jfere, ou que je fois déjà parfait, mais je pour- fliis ma costrfe pour tafther d’atteindre 3 où le Seigneur Jes us Chr I ST m’adestinéenme prenant J". 1} Mes freres, je ne pcnfepoint avoir encore atteint où jetends. 14 Maistoutceque je fais maintenant, c’est qu’oubliant ce qui est dernere moy, & m’avançant vers ce qui est devant moy, je cours inccf- iainment vers le bout delà carrière pour rem- 1 ««.ayant tnluynonu- nc juiUce, fce. maUccIlequi naift, fcc. î 4*. JesusChrift. & pour le pteiidce comme il m’a pris. «