Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/304

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Anx HebreuxÎ Chap. III. 297 de Dieu, Sc le pontife‘ de la religion que nous profeflbns ;\t• 2 qui est fidelle à celny qui l’a établi dans cette charge, Comme Moyfe luy a esté fidelle en tou- Nuatr. te sa nuifon :\t**• 7* 5 &il a esté jugé digne d’Unc gloire d’autaiit plus grande que Celle de Moyfe, que celuy qui abaftilamaison est plus estimableque la maison même. 4 Car il n’y a point de maison qui n’ait cfté bafticpar quelqu’un, Sc ccluy qui est l’architestc <ÿle créateur de toutes choses est Dieu, y C^nt à Moyfe, ilaesté fidelle dans toute la maison de Dieu, comme un serviteur, pour annoncer au peuple tout ce qui luy estoit ordonné dedire. £ Mais Je/iés C H S. i s t comme Fils al’au- torité sur ï» maison ; & nous sommes nous- mêmes sa maison, pourveu que nous confer- vions jusqu’à la fin une ferme confiance Sc une attente pleine de joie des biens que nousefperons. $. 2. N’endurcirfon cœur comme Us Juif s. Corfer- verjujqu’à U fin la participation de Jesus- Chrifi fil’efire nouveau. 7 aussyleS. Elpritadit ; Si vons écoutez ait- *V94.*. jourdhuy û voix,\tk/^*4-7< 8 n’endurciftêz point vos coeurs, comme d astrirua * au temps que le peuple estoit an dè- fêrt dans le lieu appellé coutuffliftion & murmure, 9 où vos peres me tentèrent, où ils voulu- rij 1 /. de nostre confeflîon. ■ ciâiadiocnon, au jour de a l. V.’ au dcfen dam la | lanmatlon.

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