Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/310

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cemcmenr éa, Uen 8C nnl* • AUX Hsbreuz, chap.VI. yo} qucr la parole de Dieu, fc roua estes dereaus comme des personnes à qui on ne devroit donner que du lait, fc non une nourriture fblide. IJ Or quiconque n’est nourri que de lait est incapable ff entendre les dÜcours » de la fMféüt- te justice, comme estant encore enfant. 14 Mais la nourriture folide est pour let parfrits, e’(/7adir» pour ceux* dont l’etprit par une habitude^ un long exercice s’est accouftumd à difcemer le bien & le mal. { M. delaperfêâloii. « /. qui par une habitude oncles fens exercez au tUf- Chapitre VI. $. I. chute effroyable après le bapttme. Jffua- Chrifi crucifié de nouveau. Terre fierile refervée au jm. I ’ U1T T A N T donc les instruâion» ^-^que l’on donne à ceux qui ne font que commencer à croire en Jesus Christ, pafTons à cequi est de plus parfait, sans nous arrestcr à établir de nouveau ce qui s’est le fondement de la religion, comme efi la penitence des œuvres mortes, la foy en Dieu, 1 * & ce qu’on enfeigne touchant les baptêmes, l’impofition des mains, larefurreétiondct morts, & le jugement eternel.

Et c’est aussy ce que nous ferons 3. fl Dieu le

permet. V V ca.&delafiijrenDUu. 1 /.fc la doârine des baptêmes, fcc. 5 ex. e’tfiéuUn tumfaffi- nni à du infiruUiun fbu frifumt. 1 /. Qmttantdnnc le tUf- couis w deJ.C. pallôns d lapniê- âian, n’itabUI&nt pus de nouveau le fondement de la pentanti dtt amvtcsmor-