Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/316

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AUX HEBRtuTjChap ; vlll. ÿbÿ féj estant toujours vivant pour intercéder pour nous. x6 Caril estoit bien raifonnable que nous euf- fions un pontife commeceluycy, Cûnt, innocent, sans tache, feparé des pecheurs, & plus ■ élevé que les cieux, 17 qui ne fùft point obligé commeles autres pontifes d’ofirir tous les jours des viétimes, pre- «. micrement pour ses propres pcchez, & ensuite pour ceux du peuple, ce qu’il afritunefoisen s’offrant luyméme. ag Car la loy établit pour pondfès des hommes foibles, mais la parole dt Dieu confirmée par le ferment qu’il a fait depuis laloy, établit pour pontife le Fils qui est (âint(ÿ parfait pour jamais. Chapitre VIII. 5.1.\tJesusChrist aftis dms k ciel ; mittfirt dtsway Tabenuule ; mediateser d’une nouvelle aUiaswe. î ’’T’ O u T ce que nous venons de dire fc 1 réduit à cecy: Que le Pontife que nous EvOns est li grand qu’il est assis dans le ciel à la droite du throne de la souveraiste Majesté ; a estant le ministre du fanâuaire, & de ce véritable tabernacle que Dieu a drclTé, & non pas un homme.. î Car tout pontife est établi pour offrir à Dieu des dons Se. des viftimes. C’eljpourquoy il est neceflàire que celuycy ait auflÿ quelque chose qu’il offre À Z>i«r. 4 Que s’il n’avoit deu estre prestrc que lùr la terre, il ne l’auroit point esté du tout, y ayant Digrtized by