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Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/324

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AUX Hebrsuz, Chap. X. 317 i£ Voicy l’afliancc que je feray avec eux prés que ce temps-là fera arrivé, dit le Seigneur, j 3. j’imprimeray mes loix dans leur cœur, & jclcs ccriray dans leur esprit ; 17 il ajoute: Et jenemefouviendrayplus de leurs pcchez & deleurs iniquitez. 18 Or quand les pechez font remis, on n’a plus besoin d’oblation pour les pcchez. 19 Puis donc, mesfrercs, que nous avons la liberté d’entrer avec confiance dans lefanéluai- rcparlclàng de Jésus, ao en Juivant cette loy nouvelle Si vivante qu’il nous a le premier tracée par l’ouvertme du voile de sa chair s ; ai fcquenan&avons un grand Prestrequiest établi sur la maison de Dieu ; aa approchons-nous de luy avec un cœur V rairaent fincerc, fc avec une pleine foy, ayant les cœurs purifiez des foüilluresde la mauvaise confcience par uncafyerfion intérieure, aj & les corps lavezdansTeau pure 4m tne -, demeurons fermes\tinébranlables dans la profefllonque nous avons faitte d’ciperer ceqpti nous a estéfrtmis, puisq ue cduy qui nous l’a promis est très fidelle dans ses promeflès : »4 &♦ veillons les uns sur les autres, afin de nous entr’cxciter à la charité fc’aux bonnes œuvres ; aÿ ne nous retirant point des aflèmblées des fidelles, comme quelquesuns ont accouftumé dclàire, mais nous » exhortant les uns lesau- X iiij }■ ex. quifia dichirtt à fa U voilt du tcm- fU quitn efitit lafigmt. 4 I, canfidciom-Don> I» uns les autres. { V. coofolant. «