Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/362

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OE s. Pierre, chap. II. jyy ^andeurs de celuy qui vous a appeliez des tene- >res à fou admirable lumière, 10 vous qui autrefois n’estiez point son peu- ^Ic, mais qui maintenant estes le penple de Dieu ; £*».9. vous qui autrefois n’aviez point obtenn mifc- *5- ricordc, mais qui maintenant avez obtenu mifericorde f. $.2. Fidelle, étranger en ee mande-, craint Dieu ; honore lei Rois ; confond les mé- Mfimspar sa bonne vie. 11 ŸJs 70US exhorte, mes bienaimez, atjjDim. TOUS abftenir comme estant étrangers & voya- geurs en ee monde des pallions charnelles qui combattait cont rc l’ame.\ti 12 Conduifez-vous parmy les Gentils d’n- nc maniéré pure si sainte ; afin qu’au lieu qn’ils médifeut de vous comme si vous estiez des méchans, les bonnes cenvres qn’ils vons verront fàire Jes portent à rendre gloire à Dieu an jour qu’il daignera les vifitcr de fa grâce. 13 Soyez donc Ibnmis pour Tamonr de Dieu ■*•»». tj. à tout homme qui a dn pouvoir sur vous, soit ’* au Roy comme an souverain ; 14 soit aux gouverneurs comme à Ceux qui font envoyez de fà part pour punir ceux qui font mal > Sc pour traitter frvorablement ceux qui font bien. 1 y Car Dieu veut que par vostre bonne vie vous formiez la bouche aux hommes ignorans Sc infenfez, 16 estant libres non pour vous servir de voC- tre liberté comme d’un voile qui couvre vos mauvaises aâions, mais pour agir en iwfet ferviteurs deDieu. Digitized b,