Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/83

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yi I. EpistRebeS. Paul Christ, &îcomme les difpenûteurs Jes myfteres de Dieu. i Orcequiestàdesirerdans les difpenûteurs, est qu’ils foient trouvez fidelles. 3 Pour moy je me mets fort peu en peine, d’estre jugé par vous, ou par quelque homme que ce soit : je n’ofe pas même méjuger moy- même. 4 Car encore que ma confcience ne.me reproche rien, je ne fiiis pas justifié pour cela ; mais celuy qui méjugé, c’est le Seigneur. 5 C’estpourquoy ne jugez point avant le temps, jusqu’àcequcle Seigneur vienne, *qui produira dans la lumière ce qui est caché dans es tenebres, & découvrira les plus fecrettes pcnfées des coeurs : & alors chacun recevra dcDienla louange qui hy fera deiie f. 6 Au reste, mes freres, j’ay propofé ces cho- fes en ma personne, & en celle d’Apollon > acaufe de vous ; afin que vous appreniez 3 par nostre exemple à n’avoir pas d’autres fêntimcns de vous, que ceux que je viens de marquer* ; & que nul, pour s’attacher » à quelqu’un > ne s’enfle de ranké contre un autre. §.z. Difeememem vient de Tàeu. Souffrance.^ patiente des Af offres. y Carquiest-cequimet deladifièrenceentre vous ? Qu’avez-vous que vous n’ayez point reccu ? Que si vous l’avez receu, pourquoy I /.par k JoDi, rt, par le jeigement humain. 1 ait. fuipertera la homere ions let tenebret let pluepre- fendet. 3 ex. eecy regarde leipa- Jlemt. 4 ex.oi tUfant que neut ne femmet que let ministret de JerueChriJl. { ex. cela regarde Itidifii- plet. «