harles Coran publia Onyx (1841), Rimes galantes (1847), Dernières élégances (1869).
Il exprima dans ces différents recueils la vie joyeuse et spirituelle, plutôt en poète qui a le regret de l’ancien régime que l’amour du nouveau. On a loué justement l’aisance de son rythme, son vers léger et badin qui a toute la grâce du dernier siècle.
André Theuriet, en parlant des Dernières élégances, dit que « son livre vous fait l’impression du château de la Belle au bois dormant ; seulement ce château est une petite maison de la fin du dix-huitième siècle, et la princesse, endormie pendant une lecture des Contes moraux, s’est réveillée en l’an 1869, vêtue à la mode ancienne, avec un œil de poudre et un soupçon de rouge. »
etit vin doux de Jurançon
Êtes-vous gai dans ma mémoire !
Avec mon hôte et sa chanson,
Sous les rosiers j’allai vous boire.