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JEAN RICHEPIN.


Alors, ô sang cruel qui fis dans ma poitrine
Passer ce souffle d’ouragan,
Ô vieux sang des aïeux, du sang de la curée
Je serai pour toi l’échanson,
Et je t’en ferai boire une pleine verrée
Pour te payer de ta chanson !

(Les Blasphèmes)