Page:Lemonnier - Le Bon Amour, 1900.djvu/140

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sœur des miséricordes envers le Pauvre et l’Affligé et qui assumas de me demeurer la Charité et le Salut vivants en m’enseignant un trop facile devoir, tu n’en gardas que pour toi seule les âcres amertumes. Et mon bonheur est un faisceau d’épées que par ses pointes tu plonges et retournes dans ton sang.