Aller au contenu

Page:Lemonnier - Les Charniers, 1881.djvu/228

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

canons et déchiraient leurs habits pour montrer qu’ils ne craignaient pas la mort.

— Monsieur le porte-drapeau, je vous remercie, dis-je, navré, au fæhnrich.

Et je repassai le pont.