Aller au contenu

Page:Lemoyne - Poésies, 1871-1883, Lemerre.djvu/165

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

 
Et puis... n’avons-nous pas à nous deux quelque chose
Que jamais ne diront ni les vers, ni la prose ;

Et qui ne peut mourir, quand s’éteindrait le jour :
— C’est un rayon sacré d’inaltérable amour.