Page:Lemoyne - Poésies - 1873.djvu/274

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Humbles femmes longtemps à vivre condamnées,
Des heures et des jours, des mois et des années !
Ah ! qu’elle sera froide et grande la maison !
Elles chemineront tristement dans la vie,
En aveugles pleurant une clarté ravie
Et murmurant pour toi quelque sainte oraison.