Page:Lemoyne - Poésies - 1873.djvu/42

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Ainsi fait le poëte inspiré. — Dieu l’envoie
Pour qu’aux humbles de cœur il verse un peu de joie.
C’est un consolateur ému. — De temps en temps,
La pauvre humanité, patiente et robuste,
Dans son rude labeur aime qu’une voix juste
Lui chante la chanson divine du printemps.