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ACTE 2, SCÈNE 1
m’apercevoir qu’une place était à prendre, puisque tu prétends qu’une rencontre de hasard l’a pu combler.
Marthe.
Ah ! je savais bien que tu finirais par avouer !
Philippe.
Mais c’est toi, ma pauvre femme, c’est toi qui me pousses à bout. Qu’est-ce que tu redoutes enfin ? que je séduise une jeune fille qu’abrite ma maison, une expulsée, une religieuse…
Marthe
Je sais très bien, mon pauvre Philippe, que tu es à des lieues des pensées coupables, que troubler gratuitement cette jeune fille te semblerait vilain, vilain, mais les meilleurs