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LES AFFRANCHIS


Scène 3

LES MÊMES. — MARTHE.
Marthe, parfaitement élégante.

Pardon, n’est-ce pas ? Nous venons d’arriver, j’ai mes deux cisterciennes et vous comprenez, Béatrice ?

Mme Spire, geste écartant les excuses.

Je ne croyais plus revoir Sabine. Je suis très émue.

Marthe.

Elle arrive de Fontevrault. L’année dernière, en allant à Biarritz, j’ai fait un détour pour la voir. Elle ne semblait pas craindre les