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Page:Leneru - Les Affranchis.djvu/151

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ACTE 2, SCÈNE 6

Réal, irrité.

C’est la rançon de ta vie d’ascète. L’heure est venue de la payer.

Philippe.

Je l’ai cru d’abord. J’ai voulu me lasser, écœurer le désir en moi, j’en ai pris le moyen. Je suis revenu éclairé. Ces rencontres-là, quel que soit leur moment, sont à jamais les maîtresses de l’heure.

Réal, navré.

À ce point-là, Alquier !

Philippe.

Que veux-tu ? J’ai retrouvé les yeux, le