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ACTE 3, SCÈNE 4

tristesse, elle était la cause et la raison d’être, elle était la loi. Il n’y a pas à se révolter. Le jour où, jeune fille, ton cœur t’a penchée vers un homme, tu as accepté la vie, tu es entrée dans le pacte. Crois-moi, ce n’est pas le moment de se payer de mots, de rechercher en soi les menaces vaines et les folles défenses. Ne sommes-nous pas des affranchis ?

Hélène, comme en rêve.

Nous sommes des affranchis.

Philippe.

Oublie tous les mensonges, la jalousie des joies moindres envers les joies trop grandes… Dis-moi, dis-moi ce qui t’arrête ?

Hélène, très triste.

Vous me demandez des raisons… Je ne