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ACTE 3, SCÈNE 7

dénoncerai la misère de vos doctrines, l’éclat emprunté de vos dogmes, auxquels tout l’effort humain des génies dévoués n’arrive pas à prêter une signification. Et votre morale enfin le dernier orgueil, votre vaniteux sacrifice… Je le réduirai à ses proportions de paresse et de lâcheté, je montrerai l’inutilité, l’emphase de ses attitudes…

L’Abbesse, avec beaucoup de dignité.

Vous ne ferez rien de cela, Philippe, et vous me donnerez Marie à élever.

(Un temps.)

Philippe, à Hélène, avec une extrême déception.

Ainsi vous n’aurez pas une révolte, un regret ?