vie qu’elle s’était choisie, du jour au lendemain elle ne peut se transformer en quêteuse de mariage. Tu t’obstines à des tentatives qui m’étonnent de ta part et ressembleraient à des manques de tact. Laisse-la souffler, se retourner. Ça ne doit pas être gai tous les jours sa petite aventure.
Oh ! pour ce que lui manque son couvent… C’est tout juste si elle va à la messe, elle laisse Sabine communier seule. J’en ai parlé à ma sœur qui le prend avec un flegme : « Hélène traverse une crise, laisse-la ; observe la même discrétion que moi-même. Elle a de grands troubles intérieurs, ne la tourmente pas. » Comme toutes les défroquées, elle ne croit plus à rien, parbleu ! Tu verras où ça la mènera. Si elles te plaisent à toi, les femmes sans religion !