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Page:Leo - La Commune de Malenpis.djvu/37

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la commune

pioches, des machines à battre le blé… ; c’est elle qui a mêlé le fumier à la terre pour la rendre plus féconde ; c’est elle qui a greffé l’arbre pour rendre le fruit meilleur ; c’est elle qui a trouvé que la chaux mêlée aux terres tourbeuses les rend plus fertiles, que la marne mêlée aux terrains lourds ameublit le sol.

C’est elle qui découvre encore, tous les jours, de nouvelles bonnes choses qu’il nous serait utile de connaître et que nous connaîtrions, si nous étions un peu plus savants, si nous savions lire et bien comprendre les livres où ça se trouve. C’est à l’idée que nous devons le pain, le beurre, le vin, le sel, le savon, l’huile et la chandelle, et le cuir et le fer et la poterie, et